La commande \rput(x,y){...} permet de placer, au point (x,y), son argument, qui peut être aussi bien du texte que d'autres instructions de dessin.
![]() |
![]() |
Avant d'être déplacé vers le point (x,y), l'argument peut au préalable subir une rotation d'angle α centrée à l'origine, avec la commande \rput{α}(x,y){...}
![]() |
![]() |
La commande \rput s'avère bien peu pratique pour étiqueter les sommets d'une figure, car les étiquettes doivent figurer non sur les points eux-mêmes, mais à côté d'eux.
Pour cela, on utilise plutôt la commande
\uput{r}[φ]{α}(x,y){...}
dont les derniers arguments
α et
(x,y) jouent le même rôle
qu'avec la commande
\rput.
Les deux premiers arguments servent à positionner l'étiquette
par rapport au point (x,y)
en spécifiant en quelque sorte ses coordonnées polaires, c'est-à-dire
à quelle distance et dans quelle direction elle se situe.
![]() |
![]() |
télécharger le code | |
![]() |
![]() |
télécharger le code |
La commande
\psdots(x,y)
permet d'afficher explicitement le point
de coordonnées (x,y)
d'une figure.
L'apparence du point se modifie grâce à l'argument
optionnel dotstyle.
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
Les commandes qui suivent, pour marquer les segments, nécessitent
de charger dans le préambule, après le paquetage
pstricks, un autre paquetage :
On notera également qu'en lieu et place de la commande \psline, il faut ici utiliser la commande \pcline.
Trois commandes permettent, après avoir dessiné un segment, d'y ajouter une étiquette :
![]() |
![]() |
télécharger le code |
Quelques arguments optionnels permettent de régler le positionnement de l'étiquette (comme avec la commande \uput) :
![]() |
![]() |
télécharger le code |
Signalons enfin l'argument optionnel offset de la commande \pcline, qui permet de décaler un segment d'un côté ou de l'autre, selon sa valeur positive ou négative.
![]() |
![]() |
télécharger le code |
Reproduire les figures suivantes :
![]() |
![]() |